Début 2019, Louis Vuitton installera un atelier de fabrication dans l’Anjou Actiparc de Beaulieu-sur-Layon. Cette nouvelle implantation, la seizième en France pour l’entreprise, devrait lui permettre de répondre à une demande croissante en sacs, portefeuilles et autres articles de maroquinerie, notamment de la part des pays asiatiques.
Cette arrivée du groupe en Maine-et-Loire était en gestation depuis plusieurs années. Elle permettra la création de 250 emplois directs sur notre territoire.
Anjou Actiparc, l’atout économique
Situé à 20 km d’Angers, l’Anjou-Actiparc du Layon n’a pas été choisi par hasard par le maroquinier. Ce site est en effet proche d’un grand axe de transports (l’autoroute A87) et offre une surface importante de terrains aménagés avec des services de proximité.
Dans un communiqué, le Président Christian Gillet s’est félicité de cette bonne nouvelle pour l’emploi et pour le territoire. Il a rappelé l’impact de ces parcs d’activités sur le territoire, « qui ont représenté 30 M€ d’investissement pour le Département et ont généré plus de 10 000 emplois à ce jour. »
L’Anjou, pôle d’expertise de la maroquinerie
La décision du groupe LVMH vient confirmer le savoir-faire local en cuirs et textiles. Depuis plusieurs années en effet, la marque Longchamp emploie plusieurs centaines de salariés à Segré, Aarhus confectionne mallettes et sacs à main à Mauges-sur-Loire, tandis que les formations proposées par le lycée de la mode et l’AFPA de Cholet font partie des plus réputées dans le secteur.
Retour à la liste des actualités