Le lit du canal de Grez-Neuville est maçonné. Mais, avec le temps, les perrés se détérioraient et des trous importants commençaient à se former. Plutôt que de les consolider en optant pour le génie civil, le service rivières et domaine public fluvial du Département de Maine-et-Loire a donc opté pour des plantes à enracinement rapide afin de limiter l’érosion de la berge.
Ce processus naturel, écologique et économique sera suivi par des étudiants du lycée du Fresne à Angers et par des chercheurs de l’Irstea de Grenoble qui viendront mesurer les résultats dans trois ans, aux prochaines écourues.
Sur les 150 mètres consacrés à cette expérience unique dans le Département, quatre techniques seront testées. L'idée étant d'évaluer le procédé le plus avantageux afin de le reproduire sur d'autres sites.
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